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dimanche 20 décembre 2009

En fin de compte, ce n'était pas Jennifer Jones…

C'est pourtant ce que j'ai longtemps cru, lorsque me sont tombés sur le coin de la tronche des films aussi poignants que Duel au soleil ou Ruby Gentry, et que sont alors remontées en anamnèse des bribes de ce film-ci — la fin, surtout —, que j'avais vu tout gamin à la "Télévision française", sans doute peu avant l'éclosion de la troisième chaîne, sans en connaître ni le titre ni le réalisateur, et dont j'ai compris par la suite que son souvenir n'avait pas peu contribué à me précipiter dans les bras soyeux et rougeoyants du surréalisme, puis en bien pire brandonneuse compagnie…
Non, ce n'était pas la belle Jennifer si tourmentée, finalement : c'était Dolorès del Rio, encore plus oubliée.
S'enflammer dès l'enfance pour l'amour fou qui se révèle ensuite indissociable de la plus évidente révolte, dressant une vie debout, et tout ça grâce à ce vieux catho de King Vidor… quel paradoxe !

jeudi 17 décembre 2009

Un gadjo

Laure Adler n'est certes au mieux qu'une chienne de garde, mais Tony Gatlif, lui, est un Prince.
C'était hier soir, sur France-Culture, dans Hors-Champs.

vendredi 11 décembre 2009

Quand Barthes faisait son Leiris

« L'entreprise, le mot n'est pas beau. D'abord il y a lente, l'œuf des poux. Puis il y a prise, comme si quelque chose s'attrapait, comme s'il y avait une emprise qui s'opérait. Et entre les deux, ce re qui ne va pas tarder à gêner le ri, et qui sonne comme un rot. Bref, l'entreprise est grosse de l'emprise du parasite. »
Roland Barthes, « Pastiche », 1963, inédit
Cité par Corinne Maier en exergue de son livre Bonjour paresse, Michalon, 2004

jeudi 10 décembre 2009

And now on on TV…



Ne serait-ce que pour s'en payer une bonne tranche avec cet Oliver Hardy hitlérien de Bauer, toujours aussi impayable dans sa bouffonnerie bien stipendiée…
Le reportage est visible en ligne sur cette page, ou ici : " Le coup de Tarnac " .